Épisode 15 - La porte de non retour à Ouidah, Bénin
#TournéeenAfrique #visiterlebenin #sankofa2019
Bienvenue à Sankofa 2019. Nous l'avions annoncé, nous l'avons réalisé. Du 6 au 19 Mai 2019, nous étions 5 à effectuer ce voyage. Nous avons parcouru plus de 1,500 Kms entre la Côte d'Ivoire, le Ghana, le Togo et le Bénin. Nous vous invitons à suivre le déroulement de cette tournée qui était plein d'humour et de belles expérience...
Au cours de cet épisode nous marchons sur les traces de nos ancêtres en suivant les 7 étapes qu'ils ont dû parcourir avant d'être embarqués sur les bateaux négriers à Ouidah
Musique dans cette vidéo
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BENIN Ouidah des pythons à la porte de non retour
Ouidah est une ville du sud du Bénin, en Afrique de l'Ouest. Elle est connue pour son rôle dans la traite des esclaves de l'Atlantique du XVIIe au XIXe siècle. La Route des Esclaves, un chemin par lequel les esclaves étaient emmenés pour rejoindre les navires, est bordée de monuments et conduit à la Porte du Non Retour, une arche commémorative sur le front de mer. Le musée d'Histoire de Ouidah, aménagé dans un fort portugais du XVIIIe siècle, relate la traite des esclaves dans la ville.
Ouidah est le lieu symbolique de la traite négrière dans la région, la Route des Esclaves est empreinte d'histoire. Longue de 3,5 km, elle peut se parcourir avec un guide qui vous contera le récit des esclaves et qui vous amènera face à ce monument en leur mémoire : la porte du non-retour. On traverse des petits villages charmants, la balade est agréable malgré le lourd poids de l'histoire. La plage de Ouidah a des paillotes où vous pourrez vous restaurer et vous rafraîchir. Près de la porte du non-retour, se trouvent des petites échoppes à souvenirs. Si vous souhaitez plus de tranquillité, il est aisé de s'éloigner et de trouver alors une plage déserte.
Le Temple des Pythons est minuscule et à moins que vous ayez l'envie de porter un python, il n'y a rien d'incroyable dans ce temple. Le guide se concentre sur les photos qu'on doit prendre avec le python mais peu d'informations réelles sont transmises.
J'ai été à la forêt sacrée Kpassé (nom du roi, fondateur de Ouidah) et ce parc est un chouette endroit pour qui recherche la sérénité, le calme et la méditation. Il y a quelques statuettes ici et là et un arbre sacré, très haut, véritable lieu de culte pour les Béninois. Ce parc n'est pas très grand mais j'ai trouvé que la promenade était fort appréciable.
MUSIQUE TOMLINK TREDEZ
Bénin bien commun - Le chez soi
Cette capsule a été tournée à Ouidah (Bénin), sur la plage de la Porte du non-retour. En prenant appui sur l'histoire, et tout particulièrement sur celle l'esclavage qui a marqué ce pays côtier, les jeunes sont amenés à réfléchir sur l'importance du chez soi, de la liberté et, donc, de la démocratie comme bien commun.
Bénin bien commun
Tout en travaillant à documenter leur stage humanitaire au Bénin, les jeunes du Collège Sainte-Anne de Lachine ont été amené à porter leur regard sur trois thèmes choisis pendant le dernier camp de formation (eau, éducation, culture) afin de réaliser des capsules pour partager sur la plate-forme de Remix biens communs.
Réalisation, caméra et montage : Stéphanie L. Bérubé
Deuxième caméra : Cédric Servay et Ariane Primeau
Avec Martin Chevalier, François Gnonhoussou et les jeunes du Collège Sainte-Anne de Lachine
Extraits remixés de Jusqu'où es-tu chez toi (Anne-Julie Rollet, Kër Thiossane et La Compagnyà) et Achille Mbembe (Kër Thiossane)
Musique: Transformation de SoLaRis
Une production de Communautique, avec l'appui du Service à l'Animation Spirituelle et à l'Engagement Communautaire (SAVEC) du Collège Sainte-Anne de Lachine.
BY-NC, SA: 2013
Ouidah : découverte de la route de l’Esclave
BENIN LA PORTE DE NON RETOUR À OUIDAH VU DU CIEL
Bénin : mémoire de l'esclavage à Ouidah
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Il récompense la bonne gouvernance. Le prix de la fondation Mo Ibrahim a été décerné à l'ancienne présidente du Liberia Ellen Johnson Sirleaf à Kigali.Ce vendredi marque le 170e anniversaire de l'abolition de l'esclavage dans les colonies françaises. Reportage au Bénin où des chercheurs tentent de transmettre l'histoire pour ne pas oublier. Et puis le 6 mai prochain aura lieu la première édition du Fraîches Women Festival à Montreuil. Dolores Bakèla et Adiaratou Diarassouba sont nos invités.
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La Porte Du Non Retour in Ouidah
While France celebrates April 27 to June 10, 2016 the month of the memories of slavery and fighting for equality, more than 6000 kilometers, the city of Ouidah in Benin carries with it the memory of the atrocities that took place. are perpetrated there until 1848, year which ends, by decree, with the slave trade on behalf of France and its colonies.
Ouidah is a city located on the Beninese coast about forty kilometers from Cotonou. This city is infamous for having been in the eighteenth century one of the main point of sale and departure of slaves to the French colonies and other European countries.
Orchestrated by the slave state of Abomey on behalf of the Europeans, raids on villages and the sale of slaves, called goods, took place in the most inhuman conditions.
The Gate of No Return was erected in 1995 at the initiative of UNESCO on the beach, where are supposed to have left the boats of the slave trade.
It is the starting point of the nearly two million Africans who left the land of their ancestors to join in galleys the galleys that took them to a new world of work. On average 20% of the slaves who boarded died during the crossing.
The Gate of No Return also symbolizes the point of arrival of what is today called the Slave Route.
This route started from the Place des Enchères, also called Place Chacha in downtown Ouidah. This place was erected in 1717 by King Ghézo d'Abomey who confided to his friend, the Brazilian Chacha de Souza, the sale of prisoners of war to Europeans.
Even today, in the middle of this square, there is a multi-century tree, the tree of oblivion. It was practiced a ritual intended to make men and women, sold as slaves, lose all reference. The men had to turn nine times and the women seven times around the tree that would make them forget their culture, their past and their homeland (this figure was determined in relation to the beliefs of the people of the time that the men had nine ribs and women seven).
Before crossing the few kilometers that separated them from the boats, the slaves were branded with a letter, a sign of the country where their new buyers belonged.
Then, to test their resistance on the boats during the crossing, they were locked up for several weeks or even months in small boxes, where the darkness was almost total. Those who died or were no longer able to cross were thrown into mass graves. Those who remained, roamed the few kilometers that separated them from the beach.
The Gate of No Return carries with it the signs of atrocities perpetuated throughout this journey. On both sides of the Gate, you can find various sculptures and frescoes symbolizing them. On one side, facing the sea, the slave march to the boats and on the other side, back to the sea, facing the city of Ouidah, the slaves walking from the tree of oblivion.
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« Goree island » (La porte du non retour)
«Goree island» (La porte du non retour), composed and played by Samuel Angely.
Always wanted to go to Goree Island near Senegal to catch a glimpse of history, stand at that door...feel... Wrote this song in 2006... #senegal #goree #martinique #madinina972 #guadeloupe #Ilovejazzguitar #jazzguitar #godinguitars #toronto
PORTE DE NON RETOUR BENIN OUIDAH
BENIN - Porte du Non-Retour, Gate of No Return
A'y Lafrik tibwen pou kouté pou tann, tann pou konprann.Misié? Du moment que tout biten klè zô pé ni pon problèm épi i grangrèk i ni lokans. Si'w kontrèlè menm, voyé mél a'w monté nou ké vwè sa.
Gabriel Hadji's contact details. If you wish to visit Ouidah, understand the history of the slave trade in Benin,go to the right places, hear some good gigs, hear about the true and odd stories, well he's definetely your man!
Esclavage transatlantique: Allada, Porto-Novo et Abomey n'ont jamais été des royaumes..
Les villes de Porto-Novo, Allada et Abomey n'ont jamais été des royaumes endogènes ni traditionnels dans l'histoire traditionnelle des peuples autochtones de l'aire culturelle et cultuelle Adja-Ké-Hun et Oyo soit le Bénin, Togo et le Nigeria. Il s'agit plutôt des anciennes villes comptoirs britanniques qui facilitaient la détention des captifs y compris des butins jusqu'à l'arrivée des bateaux négriers pour l'embarquement. Il en est de même pour la ville de Ouidah qui était un étalage où on vendait des captifs après la célébration des cultes de profanation.
Dans l'histoire des peuples noirs de l'aire culturelle et cultuelle Adja-Ké-Hun et Oyo (Bénin, Nigeria et Togo) les villes de Porto-Novo, Abomey et Allada excitent la rébellion jusqu'à nos jours.
Les communautés Gun, Yoruba, Nago, Mahi, Idatcha, Toffin, Adja, Hun, Tori etc considèrent les Fon de Agbomè (Abomey) comme des esclaves maisons exploités par des britanniques et plus tard des Français pour leur livrer des guerre de déportation.
A en croire des sources traditionnelles les plus concordantes, le nom Agbomè signifie entre l'anneau d'une chaîne ou entre le licou et c'est un qui incite à la peur. Il en est de même pour Porto-Novo qui a pour nom indigène HONGBONOU et qui signifie la porte la plus large ou la porte du non retour.
Pendant les premières années de l'esclavage transatlantique dans la région du Sud Bénin, plusieurs embarquements dans leur départ ont pris la direction du Nigéria et non celle de Cotonou.
A la question d'où viennent les Fon des anciennes villes comptoirs de Agbomè, Porto-Novo et Allada, la tradition rattache leur origine au royaume des Ashanti aujourd'hui Ghana appelés autrefois la côte de l'or. Ils sont en effet des anciens captifs des campagnes britanniques qui se servaient d'eux pour livrer des guerres de razzias aux royaumes noirs de la sous régions. Il n'est donc pas un fait étonnant que des historiens européens du XVIIIè siècle leur attribuent le titre de royaumes ou celui des princes conquérants ne serait ce que pour les impliquer aux crimes de l'esclavage transatlantique.
Pour mieux comprendre le mécanisme de ces manipulations historiques, il faudrait orienter des recherches scientifiques vers les couvents vodoun en interrogeant les patrimoines matériels et immatériels encore disponibles chez des chefs de cultes et des responsables l'histoire traditionnelle. C'est ce que fait un groupe de chercheur en histoire sur place au Bénin. Il est donc conseillé aux afro descendants du monde de se pencher davantage sur l'histoire des royaumes ancestraux d'Afrique que de s'affluer vers Ouidah, Porto-Novo et Allada où la plupart des traditions sont celles issues de la mesquinerie de l'homme blanc et la ruse de ce dernier à faire de l'homme noir un poison pour l'homme.
symbole-amitie.com
LA PORTE DE NON RETOUR LA MAISON DES ESCLAVES GOREE LE CONSERVATEUR ELOI COLY PARLE DE REPARATION
Une chaîne de la diaspora Africaine, particulièrement celle de la RDC pays de Kimpa VITA, de Lumumba, de Kimbangu et des enfants de Mvuluzi... Ingeta !
Rédacteur en chef : BONGOS Roger Tél. : 00 33 6 52 75 40 90
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The Door of No Return is a memorial arch in Ouidah
Porte du Non Retour - Bénin Tourisme
La porte du non-retour est une arche commémorative à Ouidah, au Bénin.
La Porte du Non-Retour à Ouidah
Omar Márquez a Porte du Retour Ouidah (TRIBU JAKEN) Benin (AFRICA) Igbo & Udú Drums
Port du Retour a Village ou Cité Historique de Ouidah au Benin. (TRIBU DE JAKEN)
La Porte du non-retour - Bande annonce
LA ROUTE DES ESCLAVES À OUIDAH, RÉPUBLIQUE DU BÉNIN
Hello ҉
Notre visite à Ouidah nous a permis de parcourir la routes des esclaves: du marché des esclaves à la porte du Non Retour. Cette route de 4 km est composée de six étapes.
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© Crédits à la fin de la vidéo :)
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Ouidah - La Porte de Non-retour
La porte de non-retour au Bénin... des milliers d'hommes, de femmes, d'enfants, privés de leur destin
Au Bénin, Ouidah, cité historique de la traite négrière [Le Mémo]
Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition. En 2016, nous étions allés à Ouidah au Bénin. La ville était l'un des principaux points d'embarquement en Afrique des esclaves envoyés outre-Atlantique.
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