L'église Saint Martin Saint Augustin filmée avec un drone par Olivier Miniato.
L'église Saint Martin-Saint Augustin de Nice filmée par un drone par Olivier Miniato.
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Un peu d'histoire:
L'église Saint-Martin a été l'une des plus anciennes églises de la ville basse de Nice.
Au départ un couvent des Pères ermites de Saint Augustin qui est construit au XIVe siècle en dehors des murs d'enceinte qui cerclent la ville. Le bâtiment est rapidement mis en ruine par les guerres qui dévastent la région à cette période.
Alors, en 1405 l'évêque de Nice décide de confier aux Pères de Saint-Augustin l'église paroissiale Saint-Martin.
L'église actuelle, remplaçant un édifice gothique, les travaux débutent en 1636 pour le compte des moines augustins et vont durant tout le XVIIe siècle, et jusqu'au début du XVIIIe siècle.
Un plan originel est actuellement conservé à la bibliothèque nationale de France. Il permet d'avoir une idée de l'aspect extérieur de cette église avant sa transformation au XIXe siècle.
Elle ne fut achevée, comme dans le cas de plusieurs autres églises de Nice, qu'au XIXe siècle (1895). Un tremblement de terre a détruit le second clocher en 1887.
Martin Luther alors moine augustin serait passé dans l’église le 20 juin 1510, une note figurant dans les archives de l'église en atteste. et y aurait célébré une messe.
Joseph Garibaldi a été Baptisé dans cette église le 19 juillet 1807, une copie du registre est visible dans l’église.
Depuis le 4 février 1946, l’église est classée aux monuments historiques.
L'église actuelle est de style baroque, elle abrite une peinture magnifique de Louis Bréa.
Nice - L'esplanade de la Bourgada
Cette nouvelle place constitue la première étape du grand projet Coulée Verte qui vise à créer un parc de 12 hectares en plein cœur de la ville. L'esplanade de la Bourgada a permis la création d'un espace de 4200 m² sur une partie de l'emplacement de l'ancienne gare routière, et de 2500 m² sur le parvis de l'église du Vœu.
Ces espaces arborent un sol en dalles de pierres de calcaire et de basalte ainsi qu'une décoration faite de luminaires innovants, et d'un mobilier urbain. Pour respecter la volonté de création d'un espace vert où les habitants se sentiront bien, 50 nouveaux arbres ont été plantés, la majorité d'entre eux sont des bigaradiers.
L'inauguration de l'Esplanade de la Bourgada a donné lieu à plusieurs concerts donnés par des groupes locaux : Ciamada Nissarda, Nice la Belle, Lou Caireu Nissart, le Corou de Berra et le Cercle de la Capelina d'Or.
A l'occasion de la Fête du Vœu et du 160° anniversaire de la construction de l'église du Vœu, la ville de Nice, représentée par Christian Estrosi et Eric Ciotti pour le département, a inaugurée la toute nouvelle Esplanade de la Bourgada.
La construction de cette église fut décidée en 1832, en exécution d'un vœu municipal plaçant Nice sous la protection de la Vierge pour échapper à l'épidémie de choléra venant de France et menaçante. Dans un premier temps, cette église devait être construite au fond de la place Masséna. Devant le péril des inondations produites par le Paillon, elle fut déplacée vers le site actuel où on l'édifia de 1841 à 1852. Rompant avec le baroque traditionnel des églises niçoises, ce monument, de style néo-classique, marque l'influence de plus en plus grande de l'architecture et de l'urbanisme turinois sur l'urbanisme niçois.
EXTERIEUR ET FACADE
Le portique à colonnes est orné, sur son fronton, des armes de Nice : c'est normal, l'église fut édifiée avec l'argent de la ville à la suite d'un voeu municipal. Ce principe se retrouve à l'entrée de la chapelle du Saint-Sépulcre. La façade de l'église est surmontée d'un groupe sculpté représentant la Religion. Sous le portique, deux plaques rappellent l'histoire de l'édifice.
INTERIEUR
Très simple, composé d'une nef et de deux bas-côtés, le plan de l'intérieur reprend les canons de l'ornementation néo-classique, qui insiste plus sur les volumes architecturaux que sur la décoration. Celle-ci, quoique toujours marquée par le baroque, apparaît donc comme plus dépouillée qu'ailleurs, relativement. La parenté entre l'église Saint-Jean-Baptiste et la chapelle du Saint-Sépulcre réapparaît ici. La baroque finissant, tendant au néo-classique, de la chapelle rejoint, dans le traitement des colonnes, des calottes de la nef et du choeur, le néo-classique affirmé de l'église. On pourrait presque voir, sur une échelle différente, une filiation de l'une à l'autre qui se manifeste sur de nombreux plans : architectural, décoratif, symbolique (les armes de la Ville, les deux groupes processionnels dédiés à deux Madones du Voeu, celui de 1552 et celui de 1832). Ensuite, historiquement, l'église a pris, comme paroisse, la succession de la chapelle du couvent voisin des Augustins déchaux, qui sont une branche réformée de l'ordre des Ermites de saint Augustin, présent à Nice dans l'église et le couvent de Saint-Martin-Saint-Augustin. Ces deux ordres partageant les mêmes dévotions, il est normal qu'une partie de la décoration intérieure soit inspirée des mêmes thèmes, à deux reprises au moins. Ainsi, du point de vue architectural, les chapelles latérales sont ordonnancées de la même manière : une petite, une grande, une petite, ou A-B-A. L'église du Voeu est presque la «fille» de deux autres églises niçoises, Saint-Martin-Saint-Augustin et le Saint-Sépulcre. A ce titre, elle mérite sa place ici, une place bien rarement occupée par ailleurs.
Prendre le bas-côté gauche
AUTEL DU SACRE-COEUR-DE-JESUS
C'est un autel latéral de peu d'intérêt, décoré de statues sulpiciennes de la fin du siècle dernier, début du XXe.
Messe du 11 novembre 2013 : Messe du Souvenir à l'église Saint Pierre
Messe du 11 novembre 2013 - à voir aussi sur (reportages vidéos , photos et articles ) célébrée par le Père Gabriel Clause et le Père Philippe Lacotte en présence des autorités civiles et militaire. En début de vidéo de la Messe, rappel de ce que signifie aujourd'hui le 11 novembre et photos des guerres du 20°S et 21°S
1° Lecture: Commencement du livre de la Sagesse 1,1-7 lue par le Colonel Emile Buquet
Psaume 138 chanté par Jean-Louis Mariotte
Evangile selon saint Luc 17,1-6:Le scandale,Correction fraternelle,Puissance de la foi
Homélie du Père Gabriel Clause: En évoquant la vie de Saint Martin, le Père Gabriel Clause soulignait la nécessité pour ceux qui nous gouvernent de faire appel à la Sagesse de Dieu.
En fin de cérémonie, Marie-Odile Morin-Léger chanta un Ave Maria d'une voix remarquablement limpide..
Deux vidéos :Film entier de La Messe, Film de l'Homélie
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Kaolack, Ordination épiscopale de Mgr Martin Boucar Tine
Nice : soutenez le projet de restauration de l’église abbatiale Saint-Pons
L’église abbatiale Saint-Pons est fermée au public depuis 1999. Menacée de dégradation, elle fait aujourd’hui l’objet d’un programme de restauration générale par la Ville de Nice afin de mettre en valeur la richesse de son histoire et de son architecture d’inspiration turinoise.
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Le vieux Nice ses rues ses églises
Cette vidéo traite de Le vieux Nice ses rues ses églises
La Cathédrale Sainte Réparate de Nice filmée par un drone
La Cathédrale Sainte Réparate de Nice filmée par un drone par Olivier Miniato. © 2018 tous droits réservés.
L'Eglise Saint François de Paule de Nice filmée par un drone
L'Eglise Saint François de Paule de Nice filmée par un drone par Olivier Miniato.
Un peu d’histoire:
L’église Saint François de Paule ainsi que le couvent qui la jouxte, sont construits en 1722 et 1723 par les frères Minimes, installés à Nice depuis 1633 sur le site de l'actuelle Chapelle de la Sainte Croix. ils vendent leur ancienne maison aux pénitents blancs de la Sainte-Croix en 1761. Après le départ des frères Minimes à la Révolution, elle est érigée en église paroissiale en 1838. Cette sublime église est occupée aujourd’hui par les frères Dominicains.
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Luther : la fin de vie de Luther
Emission du 28/10/2005
Sola scriptura & Sola fide ne sont pas bibliques 1/3
Chaque schisme fabrique une hérésie pour son compte , afin de justifier son retrait de l'Eglise . Pape Pie IX , Quartus Supra , 6 janvier 1873 .
2 Thessaloniciens 2:15 - Ainsi donc , frères , tenez bon et gardez fermement les traditions que nous vous avons enseignées , de vive voix ou par lettre . Matthieu 18:17 - S'il refuse de les écouter , dis-le à l'Eglise , et s'il refuse d'écouter même l'Eglise , qu'il soit pour toi comme le païen et le collecteur d'impôts . 1 Timothée 3:15 - Toutefois , si je tardais , tu sauras comment te conduire dans la maison de Dieu , qui est l'Eglise du Dieu vivant , colonne et soutien de la vérité .
Selon des érudits , le dernier livre de la Bible (Apocalypse) fut rédigé entre 68 et 95 après J.C . Il ne fait aucun doute que l'Eglise existait des décennies (30 à 60 ans) avant que la Bible ne fût terminée . Qui guidait les chrétiens durant cette période ? Comment savaient-ils exactement ce qu'ils devaient croire et faire pour se sauver ? Réponse : c'est l'Eglise qui les enseignait .
Il fallut attendre le IVe siècle pour que le canon de la Bible soit finalement terminé . Durant les trois premiers siècles de notre ère , la liste officielles des livres bibliques (appelée Canon) , n'était pas la même partout . Cette affaire ne fut résolue et clarifiée universellement que lorsque l'autorité de l'Eglise catholique se prononça sur la liste des livres ; c'est-à-dire aux conciles de Rome (382) , Hippone (393) et Carthage (397) .
Avant l'invention de l'imprimerie au XVe siècle , c'était une tâche laborieuse de reproduire la Bible car il fallait la reproduire à la main . Cette difficulté , combinée à l'analphabétisme courant , impliquait que ceux qui possédaient une Bible durant les 15 premiers siècles de l'Eglise étaient rares . Dieu aurait permis cela ? Que son Eglise ne dispose d'aucun moyen de production en masse de la seule règle de foi ? Cette idée est ridicule et se réfute toute seule . Au premier millénaire , la règle de foi des chrétiens était l'Eglise . L'Eglise est la règle de foi qui procure la vraie compréhension de l'Ecriture et de la Tradition , lesquelles sont les deux sources de la révélation de Jésus-Christ . D'ailleurs , ce sont les catholiques et spécialement les moines qui ont préservés la Bible en la recopiant . Si un protestant prétend que Dieu s'est assuré que la parole soit protégée lors du procédé de recopiage , il admet que Dieu a transmis la protection de son enseignement et de sa parole à des autorités et des personnes en dehors de la Bible , l'Eglise .
Références :
Henry Graham, Where we got the Bible : Our debt to the Catholic Church, Tan Books, 1977, ch. 4.
St. Irénée, Contre les hérésies, L. 4, ch. 20.
Mike Aquilina, The Fathers of the Church, pp. 28-29.
Warren H Caroll, A History of Christendom, Christendom College Press, Front Royal, VA, Vol. 2, 1987, p. 11.
Internet, St. Jean Chrysostome, Œuvres complètes, Thessaloniciens, II Thessaloniciens , Homélie IV, L. Guérin & Cie éditeurs, Bar-le-Duc, 1864, num. Abbaye Saint Benoît de Port-Valais, n° 2.
William Jurgens, The Faith of the Early Fathers, The Liturgical Press, Collegeville, MN, 1970, Vol. 2, n° 954.
Sources chrétiennes, Basile de Césarée, Sur le Saint Esprit, Éditions du Cerf, Paris, 2013, pp. 479, 481.
Internet, St. Augustin, Œuvres complètes, III-Lettres, Deuxième série, Réponse aux questions de Janvier, Livre deuxième ou lettre LV, trad. M. Raulx, Bar-le-Duc, 1869, num. Abbaye Saint Benoît de Port-Valais, n° 1.
Jurgens, The Faith of the Early Fathers, The Liturgical Press, Collegeville, MN, 1970, Vol 3, n° 1419.
Nicene and Post Nicene Fathers, Second Series, Vol 5, p. 511.
Alleluiah Ah ah Chant d'Acclamation - Par la Chorale Bomoko de St Augustin
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Messe ordinaire du 14 Juillet 2019
les Béatitudes Diola de Charlemagne Diedhiou
Exécuté à Matam lors d'une visite
Patristique. Les pères du désert - 1
Par Françoise Breynaert, docteur en théologie, proposant aux internautes cette école :
Places to see in ( Nice - France ) Vieille Ville
Places to see in ( Nice - France ) Vieille Ville
Le Vieux-Nice est plus que le quartier historique de la ville ; il est aussi un des centres touristiques de Nice. Situé à l’ouest de Port de Nice, le Vieux-Nice est une agglomération de rues étroites parsemées par des artères culturales, par des opportunités de shopping et par des restaurants qui créent le lieu idéal pour une visite touristique guidée, pour faire des achats ou bien pour une expérience gastronomique.
Vieille Ville, le nom donné au Vieux-Nice par les habitants du coin, est pleine d’attractions : édifices religieux, musées et galeries, squares et zones piétonnières. Jusqu'à les 1960s, le quartier a gardé la plupart de sa touche médiévale, mais, avec le temps, il a été transformé de manière qu’il puisse satisfaire les nécessités du tourisme contemporain.
Historique (par son paysage architecturel et par ses marchés traditionnels) tout comme moderne (par ses boutiques élégants de mode et par ses lieu pour la vie nocturne), le Vieux-Nice réunit la plupart des objectifs touristiques, de façon qu’à présent il est, au côté de la Promenade des Anglais, représentatif de la capitale de la Côte d’Azur. Ce n’est pas en vain que les compagnies qui organises des excursions en bus ou bien des visites à pied en Nice donnent de la priorité au quartier historique de la ville, comme si essentiel pour que les touristes s’en créent une image adéquate et accomplie de Nice.
On dit que Cours Saleya soit le cœur très traditionnel du Vieux-Nice. L’endroit est étonnant par ses marchés coloriés qui marquent les souvenirs de tous les touristes qui sont assez curieux pour qu’ils se lancent dans l’examen et la dégustation des produits locaux de Nice.
Mais il y a aussi quelques édifices religieux qui peuvent compléter l’excursion touristique en Vieux-Nice et ses environs. La Cathédrale de Sainte Reparate, la Chapelle de la Miséricorde, les historiques Église de Sainte Rita, la Chapelle du Saint-Sépulcre dans la voisine Place Garibaldi, l’Élise de Saint-Martin et Saint-Augustin, l’Église de Saint Jacques le Majeur (dénommée l’Église de Gesu), l’Église de Saint François de Paule, la Chapelle de la Sainte-Croix, la Chapelle de la Très-Sainte-Trinité et du Saint-Suaire, ainsi que la Chapelle de la Visitation, tous ceux-ci bordent les rues étroites zigzaguant du Vieux-Nice, contribuant au patrimoine architecturel du quartier.
Le Palais Lascaris et les Galeries des Ponchettes sont les musées et galeries les plus notables qu’on peut visiter lors de l’exploration du Vieux-Nice, mais l’Opéra de Nice, qui est un monument historique tout comme il l’est une institution vitale de la scène artistique et culturelle de la ville, ne doit pas être manqué.
Le Parc du Château (Colline du Château) est un point d’observation excellent, qui procure des panoramas beaux du Vieux-Nice. Et cela, bien sûr, à part de ses points forts intérieurs. Le Quai des États Unis, la prolongation à l’est de la Promenade des Anglais, délimite l’extrémité de sud du quartier, par sa position de rêve, l’attraction touristique du Vieux-Nice. La partie d’ouest du quartier est marquée brillamment par la Place Massena, et un autre square important et un bijou de l’héritage néoclassique de Nice est la Place du Palais de Justice.
( Nice - France ) is well know as a tourist destination because of the variety of places you can enjoy while you are visiting Nice . Through a series of videos we will try to show you recommended places to visit in Nice - France
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Nice : Philippe Vardon interrogé à la sortie de la messe hommage aux victimes
♥♥♥♥♥ French Riviera Côte d'Azur NICE BAROQUE partie 2/2 ♥♥♥♥
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Mettre en lumière l'aspect liberté, ornementation, théâtralité de l'Art baroque né à Rome de la contre-réforme au début du XVIème. En France, seul le Comté de Nice appartenant à la Maison de Savoie, a développé cet art fastueux aux XVII et XVIIIème siècle, réalisé par des architectes piémontais (Juvara, Vittone eux-mêmes influencés par les architectes romains du siècle précédant -Borromini-) et génois. Dans la vieille-ville de Nice on ne dénombre pas moins de 14 édifices civils et religieux. Musique baroque synchronisée de Telemann, Pachelbel, Bach, Carulli, Corelli
Accent mis sur les chapelles des Pénitents Noirs, Rouges, Blancs et Bleus et poème de Musset ''Le Pélican'' symbole du don de soi (Chapelle Ste-Croix des Pénitents Blancs) pour l'émotion.
Musique: Telemann (Wassermuzik) pour l'introduction qui débute par un panoramique de la ''Baie des Anges'' ; puis Pachelbel (Heiland), Carulli (op9_n1_rondo_allegretto) pour les édifices civils, Bach (messe_sim_kyrie et gloria -musique de fond sur le poème de Musset-, puis Concerto brandebourgeois N.5 BWV 1050, enfin Toccata fugue en ré) ces 2 derniers morceaux très connus pour les 2 édifices majeurs : cathédrale Ste-Réparate et église St-Martin et St-Augustin, Carulli (op9_n3_rondo_allegretto), Pachelbel (Canon), Corelli (Concerto Grosso OP.VI_n.4) pour la fin avec vue de Nice depuis la Chapelle de Gairaut sur les hauteurs de Nice.
NICE DRONE. EGLISE SAINT JEAN BAPTISTE LE VOEU
NICE DRONE. Eglise Saint Jean Baptiste - Le Vœu
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♥♥♥♥♥ French Riviera Côte d'Azur NICE BAROQUE partie 1/2 ♥♥♥♥
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Accent mis sur les chapelles des Pénitents Noirs, Rouges, Blancs et Bleus et poème de Musset ''Le Pélican'' symbole du don de soi (Chapelle Ste-Croix des Pénitents Blancs) pour l'émotion.
Musique: Telemann (Wassermuzik) pour l'introduction qui débute par un panoramique de la ''Baie des Anges'' ; puis Pachelbel (Heiland), Carulli (op9_n1_rondo_allegretto) pour les édifices civils, Bach (messe_sim_kyrie et gloria -musique de fond sur le poème de Musset-, puis Concerto brandebourgeois N.5 BWV 1050, enfin Toccata fugue en ré) ces 2 derniers morceaux très connus pour les 2 édifices majeurs : cathédrale Ste-Réparate et église St-Martin et St-Augustin, Carulli (op9_n3_rondo_allegretto), Pachelbel (Canon), Corelli (Concerto Grosso OP.VI_n.4) pour la fin avec vue de Nice depuis la Chapelle de Gairaut sur les hauteurs de Nice.
Visite guidée de Nice : Vieux-Nice circuit 1
Bonjour et bienvenue à Nice. Suivez-moi pour cette balade à travers le dédale des ruelles pittoresques et colorées de la vieille ville.
Le vieux-Nice, quartier le plus ancien de la cité, correspond à la ville basse médiévale. Il forme un triangle, limité au sud par la mer, à l’ouest par le fleuve Paillon et à l’est par la colline du château, où se situait autrefois la ville haute. Il s’achevait au nord à l’emplacement de l’actuelle place Garibaldi.
C’est d’ailleurs à son niveau que nous débutons notre périple, en empruntant la rue Pairolière, une de ses artères les plus commerçantes. Elle prit son nom des chaudronniers ou pairoliers qui l’habitaient jadis. Là, se trouvait la porte du même nom qui était une des quatre entrées principales de la ville. On peut admirer les vestiges de cette dernière dans la crypte archéologique.
Bientôt sur votre gauche, vous apercevez les marches de la rue du chœur. Gravissez-la pour rejoindre l’église Saint Martin – Saint Augustin. Au passage, admirez les façades et, derrière vous, la tour Saint François.
Les origines de l’église Saint Martin remontent au XIIe siècle, mais elle a été reconstruite entre 1683 et 1689. Notez le bâtiment à sa droite, qui était l’ancien couvent transformé aujourd’hui en caserne. Ce n’est qu’au XIXe siècle que l’église sera dotée d’une façade, comme ce fut le cas pour bon nombre d’édifices religieux de la vieille ville, qui n’en possédaient pas. L’intérêt réside surtout à l’intérieur, où l’on est surpris par la riche décoration baroque. Deux tableaux méritent votre attention : une piéta datée de 1480, attribué à l’artiste niçois Louis Bréa, et un saint Antoine de Padoue daté de 1500. C’est ici que Martin Luther aurait célébré une de ses dernières messes en tant que moine et que Garibaldi fut baptisé.
En sortant, presque en face, un bas-relief évoque la lavandière Catherine Ségu-rane. Ne dites surtout pas aux niçois, que leur célèbre héroïne, devenue emblème de leur résistance face à l’envahisseur, n’a peut-être pas existée … et pourtant le doute subsiste.
Le 15 août 1543, lors du siège de Nice par les Turcs de Barberousse, alliés aux troupes françaises de François 1er, Catherine Ségurane prit part aux combats, armée uniquement, dit-on, d’un battoir à linge. Elle en assomma le porte-étendard turc, lui arracha son drapeau, en brisa la hampe et en déchira le tissu. On ajoute aussi, par-fois, que retroussant ses jupes et jupons, elle exhiba la partie charnue de son anato-mie aux assaillants, ce qui eut pour résultat de les fit fuir. Cependant, malgré cet acte héroïque, la ville basse tomba le 22 août et seul le Château résista jusqu’à l’arrivée des troupes piémontaises.
Descendez à présent la rue Saint Augustin, et remarquez au passage un second bas-relief qui rend hommage à Auguste Icart, conseiller municipal, puis adjoint au maire. Il œuvra, entre autres, à la modernisation de la ville dans les années 30 et 40.
Par la rue François Zanin, vous rejoignez la rue Pairolière, puis la charmante place de la tour. Son nom lui vient de la tour Saint François dont les premiers niveaux de style baroque furent surmontés, en 1840, par une horloge.
Cette tour appartenait à un couvent de Franciscains, construit dès le XIIIème siècle, abandonné à la Révolution et en grande partie démoli aujourd'hui. Ce couvent a également donné son nom à la place Saint François que vous atteignez en continuant de descendre la rue Pairolière.
En arrivant sur votre gauche, remarquez ces belles demeures qui conservent leur façade médiévale du XVe siècle.
Placez-vous près de la fontaine aux dauphins afin de pouvoir mieux admirez ce lieu que domine le palais communal, ancien hôtel de ville. Au XVIe siècle, la construction de nouvelles fortifications pour le château oblige au déplacement des instances du pou-voir de la ville haute à la ville basse, on nomme cet épisode le déperchement. La cons-truction du palais se déroula de 1574 à 1580 dans le style baroque turinois. Il fut mo-difié et restauré jusqu'en 1792, date à laquelle les troupes françaises le pillent et saccagent.
Le portail monumental, en marbre d’ordre toscan, date du XVIIe s. Les quatre pi-lastres coiffés de chapiteaux ioniques, qui encadrent les hautes fenêtres, furent ajoutés par l’architecte piémontais Tavigliano en 1758. Il s’inspira du style baroque turinois.
Nous quittons la place en grimpant la ruelle saint François, puis la rue Saint hos-pice. Nous continuons notre ascension en empruntant sur votre droite un escalier, la rue de la Providence. Elle vous conduit à la chapelle de le Visitation sainte Claire. Si elle est ouverte vous aurez la chance d’admirer des fresques datant de 1828 réali-sées par le peintre piémontais Giuseppe Toselli, ainsi qu’une chaire à prêcher dont la décoration est un témoignage niçois du néo-classicisme...
Les 900 ans de l'Abbaye de Preuilly
Il y a 900 ans, quelques moines bénédictins venus de Cîteaux fondent la 5ème fille du nouvel ordre monastique cistercien : l´abbaye de Preuilly, en actuelle Seine-et-Marne. Un lieu consacré à l´union à Dieu, dont il reste surtout des vestiges. Les caméras de KTO n´ont pas manqué de vivre pour vous cet anniversaire, accueillies par la famille Husson, propriétaire du site, et les chercheurs en charge des fouilles archéologiques et travaux archivistiques sur Preuilly. L´occasion de se plonger dans les secrets cisterciens ! L´occasion de comprendre pourquoi la transmission de la mémoire historique et spirituelle peut ressourcer notre société et l´Eglise !
Hors les Murs du 12/10/2018.